Message de bienvenue

Bienvenue sur le blog des étudiants en IIIe année LEA - Français-Anglais-Allemand (2018-2019, 2017-2018, 2016-2017, et 2015-2016) et des étudiants en Ière annnée de Mastère - Traduction spécialisée et interprétation de conférence (2023-2024, 2021-2022) et en IIe année de Mastère - Théorie et pratique de la traduction et de l'intérprétation. Langue française (2016-2017) de l'Université "Lucian Blaga" de Sibiu, Faculté de Lettres et Arts ! Ce blog a été créé en octobre 2015, à l'initiative de Dumitra Baron, titulaire du cours de Traduction assistée par l'ordinateur, et se donne comme mission principale d'être une plateforme (terre) d'accueil pour les (futurs) traducteurs et spécialistes en communication multilingue. Tradterre provient également des noms des domaines que nous voulons couvrir: la traduction, la terminologie et la révision. Le blog accueille des ressources utiles pour le métier de traduction, des discussions que nous espérons fructueuses sur divers thèmes relatifs à la traduction et à ses défis.
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mardi 17 décembre 2024

Entretien avec Benjamin Aguilar-Laguierce (II)

J’ai choisi d'étudier l’entretien avec le traducteur Benjamin Aguilar-Laguierce. Il travaille dans le domaine de la traduction depuis 2005 et il est aussi président du directoire de 9h05 Group depuis 2009. 

Pour mieux le connaître, il a été demandé quelles études il a suivies. Il a étudié, à licence et au master, les langues hispaniques, puis un autre master en traduction pour l’édition en anglais et un doctorat en traductologie et linguistique appliquée. De même, il s’est spécialisé dans la traduction du droit. Si on parle du lieu de travail, il a mentionné qu’il est indépendant, mais aussi qu’il dirige une entreprise de traduction. Il est axé sur la traduction littéraire, juridique et spécialisée. 

Pendant l’entretien, il a aussi parlé du domaine du doublage. C’est une partie plus complexe, car le traducteur ne s’occupe pas seulement de la traduction, mais aussi, il adapte le discours aux lèvres et aux critères. 

Parmi les œuvres traduites, on compte Minka, ma ferme au Japon de John Roderick, Malaga, pas sans mon nom de Santiago Vizcaíno, Oso + Páramo d’Olivier Dangles, British Stories du Musée du Louvre. 
En termes de salaire, le traducteur mentionne qu’il vit bien avec les trois axes de traduction, mais que, si on traduisait seulement des textes littéraires, ça ne souffrirait pas sans un autre job. Il traduit en français, anglais et espagnol. 

Concernant les désavantages de ce métier, on rappelle la solitude, comme beaucoup de traducteurs travaillent de chez eux. De plus, il serait, parfois, difficile de séparer la vie privée de la vie professionnelle. Donc, à la maison, le mieux serait d’avoir un espace seulement pour travailler. 

Puis, parmi les avantages, l’absence ou l’existence d’un directeur. Il mentionne que, si on sait gérer notre temps et notre travail, l’absence d’un chef est parfaite. À la fin, le traducteur est demandé quels conseils il pourrait offrir aux étudiants qui débutent dans ce métier. Il mentionne qu’il serait bien de trouver des opportunités pour exercer la traduction, afin de gagner de l'expérience, comme le bénévolat ou des stages de pratique. Lui-même, il a eu l’occasion de faire un stage en traduction éditoriale, qui l’a beaucoup aidé. 

vendredi 20 octobre 2023

Profil d'un traducteur


Le traducteur est un professionnel d’une ou plusieurs langue(s), qui joue un rôle crucial entre les langues et les cultures. Plus que de simples intermédiaires linguistiques, il est un facilitateur de communication, un ambassadeur culturel et, dans certains cas, un interprète du contexte et des nuances. Nous allons voir en particulier les responsabilités, les compétences et l'importance du travail d’un traducteur.

À la base, un traducteur est une personne qui convertit un contenu écrit ou oral d'une langue à une autre. Ce processus ne se limite pas à une simple substitution de mots ; il exige une connaissance approfondie de la langue source et de la langue cible. Un traducteur doit non seulement maîtriser les aspects grammaticaux et syntaxiques de chaque langue, mais aussi avoir une conscience aiguë des nuances culturelles, des expressions idiomatiques et du contexte. L'une des principales responsabilités du traducteur est de veiller à ce que le sens du texte original soit fidèlement préservé dans la traduction. Pour ce faire, il doit choisir avec soin les mots et les phrases qui traduisent le message voulu, tout en tenant compte des différences linguistiques et culturelles. En outre, il doit prêter une attention méticuleuse à la grammaire, à la syntaxe et aux expressions idiomatiques de la langue cible afin de créer une traduction fluide et cohérente.

Les traducteurs sont souvent classés en différentes catégories : littéraires, techniques, médicales, juridiques, etc. Chacun de ces sous-domaines exige des connaissances et une terminologie spécialisées, ce qui rend le rôle du traducteur encore plus nuancé. Le traducteur littéraire, par exemple, doit être à l'écoute des éléments stylistiques et artistiques du texte source, afin de recréer la voix et l'intention de l'auteur. Le traducteur technique, quant à lui, doit connaître le jargon spécifique de son domaine, afin de s'assurer que les informations scientifiques ou techniques complexes sont transmises avec précision. Ils jouent un rôle essentiel dans le commerce international, le monde universitaire, la littérature et beaucoup d’autres domaines. Ils permettent la communication entre des personnes parlant des langues différentes et facilitent la compréhension interculturelle.

En conclusion, le traducteur est un envoyé culturel et un personnage central dans le monde interconnecté d'aujourd'hui. Son rôle va bien au-delà de l'acte de conversion linguistique et englobe une danse complexe de compréhension, d'interprétation et de communication. Ils aident le monde à communiquer, en faisant tomber les barrières linguistiques et en favorisant l'unité à travers la diversité. Le travail des traducteurs témoigne du pouvoir de la langue et de l'importance de la compréhension interculturelle dans une société de plus en plus mondialisée. En outre, les traducteurs servent de médiateurs culturels. Ils sont particulièrement bien placés pour transmettre non seulement les mots, mais aussi les subtilités culturelles, les coutumes et les valeurs contenues dans un texte. Cette dimension culturelle est essentielle pour éviter les malentendus et promouvoir l'harmonie entre les nations et les communautés.

jeudi 2 décembre 2021

Nicolas Richard - "Chaque traduction a sa propre histoire"

 

            


Nicolas Richard est traducteur depuis 1990.  Il traduit de l’anglais et de l’anglais américain vers le français. Des auteurs traduits : Richard Brautigan, Hunter S.Thompson, Jack Kerouac, Tom Wolfe, Philip K.Dick, Truman Capote, Richard Powers.

Nicolas Richard a publié un carnet de notes autour de son travail (chez Robert Laffont), le titre du livre est « Par instants, le sol penche bizarrement ».

Dans son livre, Nicolas Richard explicite cette activité qui fait du traducteur tout à la fois un écrivain, un artisan et parfois un jongleur. Il dit qu’il n’y a aucune mécanique ou routine, « chaque traduction a sa propre histoire »

Nicolas Richard dit que la traduction suppose de curiosité, de vérifications scrupuleuses et d’inventivité. Le traducteur est un lecteur, un enquêteur, un passeur, un être curieux, jamais vraiment satisfait, toujours en apprentissage de la langue traduite, comme de sa langue maternelle.

Par son travail, le traducteur donne la parole aux écrivains. Grace à lui on perçoit deux types de voix : la voix de l’auteur et la voix qui se dégage d’un texte, par la syntaxe, par le rythme, par le souffle.

Traduire c’est lire beaucoup, pas seulement le livre qui est en cours de traduction. Le traducteur est sans cesse en quête des références implicites des textes. Traduire c’est le pretexte de lire d’autres livres. Les éditeurs ont besoin de lecteurs qui leurs apportent des livres et qui ne soient pas nécessairement des agents. Il arrive que les traducteurs remplissent cette fonction.

       


              

            Un traducteur fait découvrir des auteurs dont on parle trop peu, pour qu’ils soient lus et appreciés à leur juste valeur.

            Les défis du traducteur sont multiples.

 Pour une traduction fidèle (sans trahir), il faut comprendre d’abord. Pour la traduction du livre « Intempéries » de Thomas McGuane (qui se présente sous la forme d’articles sur la pêche), Nicolas Richard avait visité un magasin spécialisé d’Issy-les- Moulineaux. Il parle d’autres défis, par exemple faire entendre les différentes nuances du créole jamaïcan d’Alex Wheatle, transcrire une langue qui n’existe pas, celle de l’américain Russell Hoban ou trouver la juste onomatopée (l’onomatopée n’est pas la simple retranscription d’un son, mais une construction mentale complexe).

 Pour faire son travail il échange souvent en direct avec les auteurs et se tourne vers les gens qui ont plus de connaissances sur un certain sujet, ses collègues par exemple.

 En ce qui concerne la maîtrise des langues (l’anglais et le français), il pense que le français, même langue maternelle, est une langue étrangère. Pour la maîtriser, il est nécessaire un travail continu, « un travail au long cours qui durera jusqu’à ma mort. »
         

 Selon Nicolas Richard, la traduction est « d’abord un exercice de lecture, mais elle prend vite la forme d’un jeu subtil et poétique, d’une escalade minutieuse et parfois collective, d’une succession d’énigmes à résoudre qui racontent l’histoire et, parfois, même la préhistoire du texte. »

 Nicolas Richard partage son opinion sur ce qui manque pour la reconnaissance des traducteurs. Il faut faire en sorte que le nom des traducteurs figure sur la couverture des livres, insister pour que les traducteurs des romans étrangers soient systématiquement cités. C’est une lutte constante.


Ressources:   

1.     L’article de Mariana Grépinet : «Nicolas Richard : traducteur, mode d’emploi », publié le 7 septembre 2021 dans le magazine Paris Match. https://www.parismatch.com/Culture/Livres/Nicolas-Richard-traducteur-mode-d-empoi- 1756505
2.     L’article de Christine Marcandier : « Nicolas Richard : Je traduis en m’amusant », publié le 4 octobre 2021 dans le magazine Diacritik. https://diacritik.com/2021/10/04/nicolas-richard-je-traduis-en-mamusant-par-instants-le-sol-penche-bizarrement/

3.      L’émission de France Culture, diffusée le 6 novembre 2021 avec le titre « La main du  traducteur » https://www.franceculture.fr/personne-nicolas-richard.html

La traduction de la série Harry Potter dévoilée par Jean-François Ménard (I)

 

Jean-François Ménard est un écrivain, traducteur français de la série Harry Potter de J. K. Rowling. Certaines de ses œuvres sont : Quinze millions pour une fantôme-1995 ; Les Messagers du temps, sous le nom de James Campbell. Le 31 mars 2017, l'Université de Mons (Belgique) lui a accordé le titre de docteur Honoris Causa pour le récompenser de son travail de traduction sur la saga Harry Potter.

Jean-François Ménard a attendu 10 ans pour traduire le dernier volume de la série Harry Potter, car il déclare que de 6 heures du matin jusqu'au soir, il écrivait et faisait une thérapie chaque semaine : « J'ai donc travaillé non-stop pendant deux mois environ, de 6 heures du matin à minuit, avec une pause indispensable de deux heures au moment du déjeuner afin de me changer les idées. Je m'accordais aussi une séance avec un kiné, chaque semaine, pour me détendre et repartir de plus belle. »

Le style de J.K. Rowling est dense, car il pénètre dans l'esprit de chaque personnage pour décrire les émotions, les sentiments de chaque personnage, ce qui crée des difficultés pour Jean François Ménard dans sa traduction tel que : la traduction de l’école Hogwaarts «Hogwarts, l'école des sorciers en anglais, m'a inspiré Poudlard, parce hog veut dire " porc ", et wart, " verrue ". » ou le nom de professeur Humbridge : «Ce nom me paraissait difficile à prononcer en français, mais je ne voyais vraiment pas d'équivalent, jusqu'au jour où je suis tombé sur un article de Newsweek concernant Harry Potter : à cause d'une coquille, Humbridge, qui ne signifie rien de particulier en anglais, a été orthographié Humbradge. Cette faute m'a donné l'idée d'appeler le professeur Ombrage, ce qui va très bien avec le caractère déplaisant de ce personnage. »


Les sources : 

https://www.lexpress.fr/culture/livre/entretien-avec-jean-francois-menard-traducteur-des-harry-potter_822403.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Fran%C3%A7ois_M%C3%A9nard


Le statut du traducteur selon Lisa Pécherot et Pierre Assouline




Le traducteur et son domaine de spécialité : Lisa Pécherot est traductrice juridique au Bureau International du Travail à Genève et se spécialise sur l’anglais et l’espagnol. Diplômée également en droit international et en droits de l’Homme, elle a commencé sa carrière dans le domaine juridique avant de se réorienter vers la traduction à temps plein en tant que traducteur indépendant ou freelance.

Le statut du traducteur selon Lisa Pécherot (et Pierre Assouline également) : D’après Pécherot, la traduction est un domaine dans lequel on ne cesse jamais d’évoluer, le champ de possibilités étant « quasi infini » et la progression vers le mieux, « permanente ». En plein épanouissement sont aussi les méthodes de travail et les exigences d’adaptation aux nouvelles tendances du marché de travail que les traducteurs doivent saisir et puis apprendre à maîtriser le plus rapidement et consciemment possible (ex. savoir se constituer un réseau solide de clients en faisant appel aux réseaux sociaux Facebook, Twitter ou LinkedIn - le réseautage ; être capable d’utiliser les outils de traduction assistée par ordinateur etc.). Écrivain consacré et l’un des membres-clés du Prix Goncourt, Pierre Assouline suit les idées de Pécherot et souligne la popularité croissante de ce métier, tout en renforçant sa place respectable sur l’échiquier de la société française : « La France est l’un des rares pays, sinon le seul, à reconnaître la traduction comme un métier à part entière et non une activité mineure que l’on pratique en passe-temps ».

Les outils d’aide à la traduction : À part les indispensables outils classiques, omniprésents dans la « boîte à outils » de tout traducteur (dictionnaires spécialises monolingues et bilingues, dictionnaires de synonymes et d’antonymes, glossaires terminologiques, feuilles de brouillon/blocs-notes), Pécherot rappelle et insiste également sur les engins ultramodernes de traduction automatique (TA) et de traduction assistée par ordinateur (TAO). En ce sens, elle dresse le bilan de son expérience avec les logiciels Trados et DeepL, tout en mettant en balance leurs avantages avec MultiTrans, une plateforme de traduction développée exclusivement par le Bureau International du Travail de Genève (« moi j’ai testé DeepL sur un document que j’ai eu à traduire au BIT et j’ai trouvé ça pas mal » ; « MultiTrans c’est un outil plus facile à utiliser que Trados »).

Les divers problèmes rencontrés pendant le processus de la traduction : Un premier problème que Pécherot met en évidence et qu’elle enlève à force de patience et de travail coopératif concerne la technicité accrue, voire particulière de certains textes de spécialité, notamment « des documents officiels, des textes portant sur des normes internationales, des conventions et des traités internationaux qui vont être ratifiés par les États membres ». Un deuxième problème que la traductrice signale vise les délais de livraison très serrés dont elle est confrontée assez souvent, qui constituent un véritable défi de résilience et de promptitude, mais aussi une source inextinguible de stress et de fatigue. Un dernier inconvénient mis en relief par Pécherot porte sur « le rythme de travail […] extrêmement exigeant » et sur les « horaires de travail très lourds (entre 12 et 18 heures par jour) » auxquels elle se heurte en permanence. Quand même, une chose est bien sûre : il est quasiment impossible de contourner les ennuis et les difficultés susmentionnées, tout pour la simple raison qu’elles font partie intégrante du processus de la traduction.

 

Liens : - https://mastertsmlille.wordpress.com/2018/04/30/entretien-avec-lisa-pecherot/

            - https://www.espriteuropeen.fr/2020/11/26/entretien-pierre-assouline/

dimanche 7 janvier 2018

C’est quoi une traduction ?

Dans cet article, je vais vous parler du processus de traduction. On pense que c’est un des plus faciles, mais on n’a pas du tout raison. Il y a une grande différence entre « faire une traduction » et « faire une BONNE traduction » et dans les lignes suivantes, je vais essayer d'expliquer pourquoi.

Ce n’est pas l’interprétation d’un docteur en traduction, mais l’opinion d’une future traductrice, maintenant étudiante, qui a changé son avis en faisant ses premiers pas vers cette carrière.



“Le lecteur idéal est un traducteur. Il est capable de décortiquer un texte, d’en retirer la peau, de le couper jusqu’à la moelle, de suivre chaque artère et chaque veine et ensuite de mettre sur pied un nouvel être vivant.” (Alberto Manguel)

Voilà une citation qui me semble très, très intéressante. Elle décrit le processus de traduction dans de très beaux mots.

En effet, on peut dire que le texte à traduire est une entité et le premier point est de lire le texte pour comprendre le contexte, parce qu’il peut influencer la traduction. Il est important de savoir si on traduit un article dans le domaine économique, juridique, journalistique, médical etc. car chaque mot a plusieurs significations, et on doit savoir laquelle choisir.

La prochaine étape est la lecture et la compréhension de chaque phrase. Cette étape peut être difficile, spécialement quand on a des phrases complexes, très longues. De plus, la difficulté augmente, car la construction d'une phrase varie d'une langue à l'autre.

Voilà un exemple assez simple :

Ex. Elle a une fille très jolie.
      She has a very beautiful daughter.

 

Dans la phrase en français, les déterminants du substantif sont après lui, tandis que dans la deuxième proposition, qui est en anglais, ils restent avant le substantif.

Puis on a les mots. Il est vrai qu’en tant que traducteur on doit avoir un vocabulaire très riche. Mais plus important que cela est savoir choisir le mot correcte, le sens qui correspond le mieux dans un contexte.

Il faut savoir qu’il y a des mots ou des expressions qui ne peuvent pas être traduits tel quel et on doit trouver l’équivalent qui convient le mieux.

Ex. On dit que vivre là-bas, ça coûte les yeux de la tête.
       Apparently, it costs an arm and a leg to live there.
 


Et puis, le processus inverse commence. Après être entré à l'intérieur du texte à traduire, en traduisant chaque mot, il faut créer des phrases logiques, qui sonnent bien, et puis le texte, le résultat final qui doit être un chef-d'œuvre.

Le texte dans la langue cible doit avoir du sens pour pouvoir être compris par ceux qui le lisent, et pour transmettre totalement le même message que le texte initial.

Voilà donc mon opinion sur la traduction, un processus qui peut être comparé avec la réflexion de la lumière.




Drăgușanu Ana-Maria 

mercredi 13 décembre 2017

Les 10 qualités d’un bon traducteur

Bonjour à tous,
      
On  peut dire que c’est vraiment difficile d’être un bon traducteur. Ce n’est pas assez d’être un « maître de mots » pour pouvoir traduire d’une langue à l’autre, en réalité c’est plus que cela. Un bon traducteur doit avoir plusieurs qualités vraiment essentielles pour faire une carrière de succès. Il y en a plusieurs pour pouvoir les mentionner toutes, et pour cela on retient seulement 4 des 10 grandes qualités bien organisées dans l’article qui se trouve ci-joint. 
Permettez-moi de vous énumérez les plus essentiels d'après mon opinion.   
Tout d’abord, le traducteur doit avoir une grand curiosité. Pour avoir une grande culture générale et pour rester toujours connecté à tout ce qui est d'actualité, il doit avoir une grande curiosité.
Ensuite, la rigueur, la ponctualité et la patience doivent être le trinôme qui caractérise un traducteur professionnel. La rigueur pour traduire et adapter les mots  le mieux possible ; la ponctualité, parce qu’elle représente le professionnalisme d’un traducteur et la patience pour chercher et vérifier les informations d’un texte qui peut être très long et complexe.
Voici quelques qualités pour être un bon traducteur.  Si cella a attiré votre attention  je vous invite heureusement d’accéder le lien d’article.

Bonne lecteur et bonne journée ! 

Stan Roxana- Andreea
Source: https://beelingwa.com/fr/blog/les-10-qualites-dun-bon-traducteur

jeudi 17 novembre 2016

Forum des Traductions - Bucarest - 2016

Bonsoir, mes amis,


Aujourd'hui, je veux vous parler du Forum des Traductions qui a eu lieu le 14 octobre 2016 à Bucarest. J'éspere que cette information vous aidera dans le futur.
Madame Liliana Comanescu qui travaille à la Comission Européene a ouvert le Forum et a présenté une série des projets dont elle s'occupe (par ex. des concours pour les jeunes traducteurs, ou un projet qui incite les traducteurs à etre face-en-face avec les traducteurs de la Comission Européene - le programme s'appelle "Le traducteur invité”).
Madame Monica Popiolek a présenté les principales exigences du standard EN ISO 17100:2015 pour la prestation des services de traduction et ses implications, le standard en étant un très bon outil pour les traducteurs. Vous avez accès à sa présentation en anglais à l’adresse: http://afit.ro/doc/fisiere/FT2016/1_Monika_Popiolek_ISO_17100_Keynote.pdf
Les autres interventions sont accessibles à l'adresse https://www.youtube.com/watch?v=E1alj7QSWmQtandis que les documents de présentation sont disponibles en téléchargement libre sur le site de l'événement http://afit.ro/evenimente/ft2016/program/


Bonne soirée!

lundi 23 novembre 2015

Vidéo amusante




Bonjour à tous !



Aujourd’hui, je vous propose une vidéo amusante, pour vous détendre, concernant la profession de traducteur !
Passez une bonne journée! :D
 
                                                                             

P.S. : Exemple à ne pas suivre, afin que vous ayez des traductions réussites ! :) 
         Voici le link qui doit vous diriger vers la page Web de cette vidéo :                                                                        https://www.youtube.com/watch?v=Vc8tfioOKvU&list=RDVc8tfioOKvU#t=7